Dutch connexion BXVIII Ep10

Neuvième jour de carrière pour Kruger. Peut être le dernier. Soit il part en Francie avec Brenër, soit il se fait descendre par les hommes d’Helmuth Koening dans son bon rôle de fusible. Et c’est pareil pour les copains. D’ailleurs un homme du SAD vient lui faire une proposition. Ils savent pour la Francie et comptent tomber sur Brenër par surprise. La collaboration de Kruger lui vaudrait une sacrée promotion et l’effacement de son ardoise.

Sophia s’est absentée. Elle va rencontrer les contacts qui doivent lui obtenir de faux papier. Il faut presser la manœuvre, ils ne peuvent plus attendre s’ils veulent partir en vie et avec l’argent.

Heureusement poiur eux, le Komissart Kellerman sent aussi le vent tourner et il vient de trouver un autre fusible. La journaliste Helle Ingersen est en Pologne. Il procure à Potoki, Sandra, Kruger et Brenër des autorisations en bon est du forme et les envoi via un train miteux abattre ce maître chanteur encombrant. C’est eux ou elle désormais.

Sup place ils découvrent le village martyr de Brendovitch. Celui qui a été anéanti par la fuite d’une réserve de gaz de combat. Sandra et Potoki croisent des sans abris qui leur apprennent que le colonel Grunden gère la région au nom du coalition européenne et qu’il fait tout pour reprendre la guerre. Brenër et Kruger tombent de leur côté sur un journaliste freelance qui enquête sur le 5eme bataillon d’infenterie et de marine de ce même Cl Grunden. Le journaliste leur montre des photos sur lesquelles ils reconnaissent Helle Ingersen, clairement sous couverture. Ils apprennent également que la journaliste est dans les parages, surement à Pniwiet ou à Chouprack, les deux villages qui cordent le lac. Ce lac où ont été retrouvées des femmes noyées et sur lesquelles Ingersen semblait enquêter.

A Chouprack, Sandra se fait copieusement tabassée pour avoir tenté une approche virile avec les gens du cru mais ils apprennent néanmoins que La journaliste a réservé une chambre d’hôtel pour un mois. Elle fait visiblement souvent ça. Toujours la même chambre. Le groupe décide de prendre des chambres à côté et d’aller la fouiller pendant la nuit. La pêche est bonne puisque Sandra et Potoki trouvent sous une latte branlante un téléphone satellite via lequel elle a envoyé récemment des messages à son collègue retrouvé congelé à Berlin. Elle a aussi des photos des falks qu’elle semble suivre depuis un moment par intérêt pour la section XIII. Il y a aussi une photo d’un cabanon dans un bois sans aucune indication.

Au matin, Kruger et Brenër ont disparu. Kruger a avoué à son mentor que le SAD allait lui tomber dessus et ce dernier a décidé de prendre les devants dans son projet de fuite. Durant leur périple, ils apprennent qu’une troupe d’une dizaine de gars pas commode venus de Berlin est arrivée dans à l’aube. Potoki et Sandra sont désormais seuls pour retrouver Ingersen.

Ils se rendent donc à Pniwiet où un appel de François le francien les attend. Mais il ne veut parler qu’à Brenër. Ils n’apprennent donc rien de ce côté-là. Par contre ils rencontrent un journaliste qui pensent qu’ils enquêtent sur le Cl Grunden, comme Ingersen. Il leur donne l’adresse d’une femme qui a survécu à la noyade dans le lac.

Ils décident d’aller lui rendre une petit visite pour lui parler de Helle Ingersen.

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